« L’analyse automatique, pourquoi pas, mais cela coûte trop cher » #BadPatrick – Épisode 3

Catégorie(s) : Série #BadPatrick

Le troisième épisode de notre série #BadPatrick revient sur un aspect mis en avant par notre personnage : l’analyse automatique coûte trop cher. Les arguments ci-dessous permettront de comprendre pourquoi l’analyse sémantique peut en réalité demeurer un investissement plutôt qu’un coût

#BadPatrick – Épisode 3 : « L’analyse automatique, pourquoi pas, mais cela coûte trop cher »

L’analyse automatique a évidemment un coût puisqu’elle mobilise une main d’œuvre fortement qualifiée dans deux domaines de compétences : l’informatique et la linguistique.

Cet investissement est parfois remis en question et une solution de repli consiste à adopter une analyse manuelle d’un échantillon de verbatim en interne.

L’analyse manuelle : une tâche chronophage et un coût non négligeable

Seulement, l’analyse manuelle est une tâche extrêmement chronophage. D’après notre expérience, pour identifier manuellement les différentes thématiques et tonalités exprimées, il faut compter en moyenne une minute par verbatim.

Ainsi, pour catégoriser un nombre suffisamment représentatif de verbatim, ce seront plusieurs jours (voire semaines) par mois, à temps plein, qui devront être dédiés à cette tâche sans aucune valeur ajoutée. Des ressources qui, au final, représenteront aussi un coût en main d’œuvre élevé.

Illustration #BadPatrick Épisode 3 : le retour sur investissement de l'analyse automatique
Date

21 juin 2018

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